Morale de l’Histoire

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Georges Brassens : Chanter la liberté

Heureux qui comme Ulysse...

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Alexandre Zermati - 📩 Histoire
oct. 10, 2024
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Promenez-vous le long du canal de la magnifique ville de Sète. Quai du Bosc exactement.

C’est ici que le GYSS est accosté. C’est un bateau comme les autres, en bon état certes mais pas particulièrement luxueux. C’est la dernière embarcation de Brassens. Ne vous jetez pas dans le dictionnaire pour savoir ce que veut dire GYSS. C’est tout simplement les initiales de Georges, Yves (son beau-frère), Simone (sa sœur) et Serge (son neveu). On imagine volontiers le chanteur prendre le large avec ou sans ses amis, en totale liberté.

Car Brassens aime la liberté comme le marin adore la mer.

Soutien du mouvement anarchiste avec lequel il n’a jamais rompu, éditorialiste au sein du journal Le Libertaire, fondé entre autres par Louise Michel, Brassens va écrire, abrité derrière sa moustache et son air goguenard, une œuvre poétique et musicale pour la liberté et contre tout ce qui peut l’entraver.

L’anarchie est la plus haute expression de l’ordre.

Épigraphe du journal Le Libertaire

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