août 29, 2022·modifié août 29, 2022Liké par Alexandre Zermati
les histoires c'est bien quand elles ouvrent et permettent la remise en question plutôt quelles n'enferment dans sa bulle cognitive. Donc toujours écouter les histoires de tous bords évitera d'être débordé par centrifugation :p
Les exemples de cette édition sont donc farpaitement dans la bonne ligne du parti
Hello Axel, pour rebondir sur ta dernière phrase je précise à nouveau que la démarche n’est pas militante comme tu le sais. J’ai pris 3 discours qui nous ont marqué prononcés par 3 orateurs de générations différentes, utilisants des médias différents (radio, télévision, internet) et combattant pour des causes différentes. Il se trouve qu’il y’a des points communs et c’est cela que j’essaie de faire ressortir. Tout complément avec d’autres orateurs et oratrices est le bienvenu dans le champ commentaire. Merci encore pour le tien d’ailleurs.
Oui quand je disais "ligne du parti" je voulais tenter avec humour de parler de ces points communs que tu évoques: Ouverture des horizons spatiaux (de gaulle) ou temporels (obama); élargir le contexte, donner de la profondeur.
Je voulais aussi mettre le doigt sur le risque de servir la manipulation : si l'objectivité est une quête saine dans un récit, l'ouverture peut aussi servir à contrario un discours d'enfermement, dirigiste.
L'auditoire doit avoir le recul pour identifier l'ouverture saine (visant à l'objectivité) de l'ouverture inversée qui elle au contraire enchaîne l'esprit par la caricature, l'anachronisme, le fake.
Bref pour moi tu comprends bien que je fais plutôt partie du premier lot où le récit doit avoir l'humilité de la quête d'objectivité tant faire se peut. Et les 3 exemples que tu donnes me paraissent faire partie de ce même premier lot. Autre point commun.
Top cette édition ! Je note qu'il faut interdire PowerPoint et encourager le monde à raconter des histoires.
Merci Jean-Baptiste ! C’est exactement ça !
les histoires c'est bien quand elles ouvrent et permettent la remise en question plutôt quelles n'enferment dans sa bulle cognitive. Donc toujours écouter les histoires de tous bords évitera d'être débordé par centrifugation :p
Les exemples de cette édition sont donc farpaitement dans la bonne ligne du parti
Hello Axel, pour rebondir sur ta dernière phrase je précise à nouveau que la démarche n’est pas militante comme tu le sais. J’ai pris 3 discours qui nous ont marqué prononcés par 3 orateurs de générations différentes, utilisants des médias différents (radio, télévision, internet) et combattant pour des causes différentes. Il se trouve qu’il y’a des points communs et c’est cela que j’essaie de faire ressortir. Tout complément avec d’autres orateurs et oratrices est le bienvenu dans le champ commentaire. Merci encore pour le tien d’ailleurs.
Hello AZ
Oui quand je disais "ligne du parti" je voulais tenter avec humour de parler de ces points communs que tu évoques: Ouverture des horizons spatiaux (de gaulle) ou temporels (obama); élargir le contexte, donner de la profondeur.
Je voulais aussi mettre le doigt sur le risque de servir la manipulation : si l'objectivité est une quête saine dans un récit, l'ouverture peut aussi servir à contrario un discours d'enfermement, dirigiste.
L'auditoire doit avoir le recul pour identifier l'ouverture saine (visant à l'objectivité) de l'ouverture inversée qui elle au contraire enchaîne l'esprit par la caricature, l'anachronisme, le fake.
Bref pour moi tu comprends bien que je fais plutôt partie du premier lot où le récit doit avoir l'humilité de la quête d'objectivité tant faire se peut. Et les 3 exemples que tu donnes me paraissent faire partie de ce même premier lot. Autre point commun.
Merci pour cet échange :)
Tu es taquin, j'ai depuis diversifié les sujets Axel ; Si tu vois des sujets à traiter, n'hésite pas, Au plaisir !